On se doutait que l’USDAX allait lutter pour le maintien et la première journée a confirmé cette impression. L’équipe a craqué physiquement, mentalement, tactiquement face à une équipe plus puissante, plus rapide et qui a pratiqué un rugby qui s’est adpaté à son adversaire.

Alors , pour se rassurer, on évoque un championnat à deux vitesses , où Provence et l’USDAX n’utiliseraient pas le même braquet . C’est sans doute vrai.

Nos joueurs ont plein d’excuses, toutes recevables . La première, flagrante, est le manque de fraicheur physique du groupe , sans doute handicapé par une reprise très tardive , mais imposée par la fin du championnat précédent. Ensuite, beaucoup de joueurs découvraient le niveau et cela s’est ressenti. A eux d’élever leur compétence pour se mettre au niveau des recrues qui ont globalement tenues la route. Enfin , la qualité du banc adverse et l’intelligence tactique de Provence a cloué le cercueil. Tout cela finalement n’est pas bien grave et l’on espère que le staff a remis les têtes à l’endroit car ce vendredi, l’histoire des catégories différentes, personne ne va la gober.